Schriftliches Berufungsverfahren bei Tätigkeitsverbot?
In BGer 7B_1385/2024 vom 21.08.2025 musste das Bundesgericht erstmals darüber entscheiden, ob das schriftliche Verfahren möglich ist, wenn nur ein lebenslängliches Tätigkeitsverbot Gegenstand des Berufungsverfahrens ist (vgl. dazu Art. 406 Abs. 1 lit. e StPO).
Wenn ich den Entscheid richtig interpretiere, kommt es auf den konkreten Einzelfall an. Im hier zu beurteilenden kam das Bundesgericht zum Schluss, es sei ein mündliches Verfahren notwendig. Dabei hat es die Kriterien herangezogen, dies es jüngst für die Landesverweisung definiert hatte (BGE 150 IV 417):
Au vu de ce qui précède, on ne peut en tout cas pas exclure que l’on se trouve en présence d’un cas de très peu de gravité au sens de l’art. 67 al. 4bis CP. On ne peut partant pas souscrire à la motivation de la juridiction d’appel selon laquelle l’appel était „manifestement mal fondé“ et devait être rejeté sans même procéder à un échange d’écritures. La résolution de la question de l’application de la clause de rigueur de l’art. 67 al. 4bis CP requiert au contraire une appréciation circonstanciée des faits et une pesée minutieuse des intérêts en jeu. Une audience orale est donc susceptible d’être déterminante pour le sort de l’appel, ce qui la rend manifestement indispensable. Sur ce point, le refus de la Cour d’appel d’entendre oralement le recourant malgré les requêtes expresses et motivées de ce dernier, refus de surcroît sommairement motivé à deux reprises sans examen de la jurisprudence fédérale publiée, apparaît contraire aux art. 6 par. 1 CEDH ainsi qu’aux art. 405 et 406 al. 1 CPP (E. 2.4).
Der vorliegende Fall betrifft einen Lehrer, der wegen Konsums von Pornografie zu einer bedingten Geldstrafe von 30 Tagessätzen verurteilt wurde. Er hatte einen pornografischen Film auf seinem Mobiltelefon abgespielt und eine Schülerin hat die entsprechende Vertonung mitgekriegt.